Extérieur

Mercredi 3 novembre 3 03 /11 /Nov 15:33

04Ce jour là,  le soleil brilait et la température était agréable pour une fin de saison.
J'avais envie d'aller me promener et chéri me proposa une balade en forêt, ce que j'acceptais.
La saison de la chasse n'étant pas encore commencée, nous pouvions nous promener sans risque de se faire tirer dessus.
Pour l'occasion, j'avais revêtu une jupe volante blanche arrivant à mi-cuisses, un haut sans manches fermant par devant avec une fermeture éclair (le même style que celui de l'histoire précédente mais en noir), des tennis (plus pratique pour marcher en forêt) et un string en voile noir.

Après avoir roulé quelques kilomètres, nous sommes arrivée sur une route qui passe dans la forêt et nous nous sommes arrêtés sur une place qui est le long de cette route.
Nous avons pénétré dans la forêt en passant par un petit chemin qui démarrait de la place où nous étions garés.
Après avoir marché quelques temps, nous avons débouché sur une clairière qui se trouvait un peut en retrait des chemins empruntés par les promeneurs.
Nous nous sommes arrêtés ici pour profiter du soleil qui baignait ce lieu de sa clarté. Prévoyant, mon mari avait emmené, dans un sac à dos, une couverture, une bouteille de jus de fruit et deux verres.
Après nous être assis sur la couverture, nous avons bu un coup tranquillement en profitant des rayons bienfaiteurs du soleil de cette fin d'été assez chaude.
Nous avons décidé de rester un peut dans cet endroit qui nous plaisait beaucoup pour profiter du soleil.
J'était un peut déçue car si j'avais su, j'aurai emmené un maillot de bain pour parfaire mon bronzage. Quand je dis ça à mon mari, il me répondit que je pouvait toujorus bronzer en string car, après tout, mon maillot de bain était un deux pièces string.
En réfléchissant un peut, il avait raison. Après avoir bien observé autour de nous et vu que nous étions hors de vue du chemin, je me rassis sur la couverture. J'ouvris d'abord mon haut, faisant coulisser lentement la fermeture éclair et libérant mes seins, puis je me levais pour enlever ma jupe.
Je me tenais debout, devant mon mari, avec pour seul vêtement un string en voile qui ne dissimulait rien de mon intimité. Il était vrai que je l'avais mis plus pour la forme que pour dissimuler mon sexe...
Je me suis allongée sur le dos pour profiter des bienfaits et de la chaleur du soleil.

Je commençais à m'assoupir quand j'entendis un craquement. En ouvrant les yeux, je vis mon mari s'éloigner un peut.
Je lui demandais où il allait quand il me répondit que des besoins naturels l'appelaient en urgence.
Je refermais les yeux et ne prêta pas attention à d'autres craquements qui me venaient aux oreilles quelques minutes plus tard. Mon mari devait certainement revenir.
Je ne dis rien en le sentant s'asseoir près de moi. J'ai juste émis un petit grognement en sentant sa main passer sur mon ventre. J'ai ouvert les yeux quand cette main s'est enhardie et commençait à me caresser les seins. Je voulais lui dire de ne pas abuser et que nous étions quand même suceptibles de nous faire griller par des promeneurs quand je le vis...
Ce n'était pas mon mari mais un jeune homme d'une vingtaine d'années qui se tenait près de moi, le sexe à la main en train de faire des va et viens de manière soutenue.
J'allais l'envoyer chier et le rejeter quand il me dit qu'il avait croisé mon mari et que c'était lui qui lui avait dit de venir.
Il a aussi ajouté que mon mari lui avait dit qu'il pourrait me caresser, que je ne dirai rien.
Le salopard! Mon mari était parti pour trouver une personne et était tombé sur lui, il s'est dit alors qu'il pourrait assouvir ses penchants voyeurs.
Et bien il voulait matter? J'allais lui en donner pour son argent.
Je calculais alors que ce jeune était sacrément bien membré. Je commençais à ressentir une sensation que je connaissais bien monter en moi, l'exitation... J'avais envie de ce sexe.

Je lui dit alors qu'il pouvait me caresser plus que les seins. Il semblait troublé. Sûrement vierge...
Je pris alors les commandes. Pour commencer je quittait mon string qui s'humidifiait et me génait plutôt qu'autre chose pour lui montrer mon sexe imberbe et trempé de désir.
Je pris son sexe en main, puis en bouche pour lui faire une fellation dont j'ai le secret.
Au bout de quelques secondes, je le senti gonfler, signe anonciateur de jouissance. J'eu tout juste le temps de le retirer de ma bouche pour le voir éjaculer sur l'herbe.
Il était confus et s'excusait, mais je le rassurai en lui disant que ça arrivait à tout le monde.
Je le repris en main et le masturbait doucement quand le sentis gonfle à nouveau.
Contente de cette nouvelle érection, je décidais que cette fois-ci j'allais un peut plus en profiter.
Je le repris en bouche et l'aspirais gouluement. Je sentais ce petit goût légèrement amer que j'aimait tant et avalait la dernière goutte qui restait dans cette verge.
Au bout de quelques minutes, je relevais la tête et le regardais dans les yeux. Il dut comprendre et sorti un préservatif de sa poche. Un jeune prévoyant, j'aime ça.
Je déballait la protection et la mis sur son sexe si dur avec la bouche, chose que les hommes adorent.
Je le couchais alors sur la couverture et m'empalait sur lui. La sensation de son gros sexe me remplissant m'arracha un petit cri de plaisir.
Je commençait à faire des va et viens sur ce baton de plaisir, sensation géniale qui me comblait. Je sentais la jouissance monter dans mon ventre et accélérait le mouvement.
Le jouissance m'envahis d'un coup et je du me mordre les lèvres pour ne pas crier mon plaisir. Il fallait quand même rester un minimum discret, des fois qu'une personne passe non loin de nous.
Une fois ma jouissance légèrement descendue, je voulu en profiter encore plus, je me penchais en avant, j'attrapais le sexe qui me comblait et allait lui indiquer une autre direction quand je le senti gonfler dans ma main.
J'eu tout juste le temps d'enlever la capote pour qu'il jouisse sur moi. Sa semence recouvrit mon ventre et mon sexe qui dégoulinait aussi de plaisir.
Il se releva, se rajusta et reparti dans dire un mot. J'eu juste le temps de "lire" merci dans son regard avant qu'il parte.

Je restais quelque minutes comme ça, nue, allongée sur la couverture, couverte de sperme quand mon mari revint.
Ma position, des plus indécentes l'exitait beaucoup. Il sorti son sexe, se mis à genoux entre mes jambes pour me prendre quand je me relevais et les serra.
Je lui dit que c'était bon, j'avais eu mon compte et n'avais plus envie.
En réalité je n'avais qu'une seule envie, c'était de remettre le couvert, mais je voulais lui donner une petite leçon car, même si cette partie de jambes en l'air m'avait ravie, je n'avais pas aimé plus que ça d'être "prêtée" comme ça à un inconnu sans avoir pu donner mon avi.
Je sorti un kleenex de mon sac et essuya la semence qui dégoulinait de moi et me rhabillait, en mettant mon string dans mon sac à main.

Sur le chemin du retour, mon mari voulu encore profiter de la situation mais je lui expliquais que c'était non et lui dit le fond de ma pensée.
Mais je lui pardonnais rapidement et nous nous sommes écatés comme des bêtes une fois arrivés à la maison.

Je n'ai jamais su comment s'appelait ce jeune, je crois qu'il était puceau et si c'est le cas, il a du être ravi de son dépucelage.
Tout ce dont je suis sûre, c'est que j'ai pris un pied d'enfer à coucher avec lui dans cette forêt.

A bientôt pour d'autres aventures...

Par christelle amat' - Publié dans : Extérieur
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Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 15:31

29Ce jour là, nous étions allés chez des amis dans l'arrière pays varois.
Pour l'occasion, j'avais revêtu une jupette courte volante, un petit haut moulant décoleté avec un tout petit chemisier noué par dessus et des chaussures ouvertes à tonlon. Sur les "conseils" de mon mari je ne portais pas de sous-vêtements (vous ais-je dit qu'il n'aimait pas que j'en porte? ^^).
Le journée s'était très bien passée, le beau temps y étant pour beaucoup. Mon mari, sachant que j'étais "cul nu" profitait des moindres occasions pour me toucher. Il passait une main sur un sein ou sous la jupe à chaque fois que nous nous retrouvions seuls tous les deux.
Il n'avait pas trop aimé que je mette le chemisier par dessus mon petit haut, mais je lui avait dit que pour des raisons de discrétion, il valait mieux que je le porte, sinon on voyait très bien que je ne portais rien dessous. Heureusement que je le portais car à chacuns des passages des mains de mon mari, mes tétons ressortaient d'une manière très provocante.

Vers la fin d'après-midi, nous décidâmes de rentrer à la maison, et quittâmes donc nos amis.
Sur la route, mon mari profitait des longues lignes droites de la route pour passer une main inquisitrice sur les cuisses, main qui avait la fâcheuse tendance à remonter, faisant ainsi remonter ma jupe et dévoilant le haut de mes jambes.
Je cru apercevoir un sourire sadique sur le visage de mon mari quand nous arrivions à hauteur d'un poids lourd. Il avait l'intention de "perturber" un peut le chauffeur. Il me demanda alors de relever ma jupe de façon à montrer mes cuisses à la limite de mon sexe, ce que je fit avec plaisir. La journée passée à jouer au chat et à la souris avec mon mari m'avait chauffé et j'avais envie de m'amuser un peut.
Je montrais donc généreusement mes cuisses et, une fois à la hauteur de la cabine, un "courant d'air" souleva ma jupe encore plus haut, dévoilant mon sexe nu et lisse.
Mon mari réduisit l'allure de la voiture de manière à rester au maximum aux côtés du camion pour que le chauffeur puisse se rincer l'oeil. Au coup de klaxon, nous avions compris qu'il aimait beaucoup la vue qu'il avait du haut de sa cabine.
Du monde arrivant en face, mon mari doubla le camion et continua la route.
Un peut plus loin, il aperçu une petite aire de repos, un peut dans le genre de celles que l'on peut trouver sur les autoroutes. A la différence que celle-ci n'avait pas d'aménagements et se trouvait relativement près de la route.
Il y engagea la voiture et la stoppa sur une place. L'aire était vide et on pouvait parfaitement bien voir la voiture de la route, mais elle était peut fréquentée un Dimanche à cette heure-ci.
Une fois le frein à main serré et le moteur coupé, mon mari commença à m'embrasser. Je sentais ses mains caresser ma poitrine à travers mes vêtements.
Il s'arrêta et me demanda d'enlever le chemisier, ce que je fis avec plaisir (je dois avouer qu'il me tenait chaud). Le vêtement enlevé, il pu voir ma poitrine qui dont les pointes se voyaient beaucoup tellement elle étaient érigées.
Je voulu le caresser aussi, mais l'habitacle de la voiture ne se prétait pas vraiment à ce genre de jeux. Je demandait donc à mon mari de sortir du véhicule pour que l'on puisse continuer à l'aise dehors. Il ne se fit pas prier, lui qui préférait toujours "jouer à l'extérieur".
Il m'embrassa fougueusement tout en caressant ma poitrine à travers mon mince vêtement si moulant.
Je me mis à lui souffler à l'oreille de l'enlever pour libérer mes seins de leur carcan de lycra, ce qu'il fit avec une rapidité qui me surpris.
Je me retrouvait assise sur le capot de la voiture, vêtue simplement d'une petite jupe volante, la poitrine nue qui se dressait fièrement devant mon mari et nos nous trouvions sur le bord d'une route. Imaginez un peut la scène et mon exitation...
Mon mari continuait de me caresser les seins, tirant sur les pointes d'une main, l'autre étant descendu à l'assaut de mon sexe qui était devenu complètement trempé quand on entendis un bruit. Le camion que nous avions doublé venait d'arriver et avait repéré la voiture.
Je commençais à me sentir légèrement mal à l'aise car je n'avait pas vu le chauffeur et je ne savait pas du tout à quoi m'attendre avec lui, mais cette situation ne dérangeait pas mon mari, loin de là.
Le chauffeur descendit de son véhicule et approchait de nous. De là où j'étais, je ne pouvais pas le voir arriver, je ne pouvais que l'entendre...
Mon mari me demanda si j'avais confiance en lui. Un peut étonnée de cette question, je réfléchis rapidement et répondis oui en ayant une petite idée que ce qu'il avait en tête.
Il pris mon haut qui se trouvait sur le capot de la voiture et me banda les yeux avec. Maintenant je ne pouvait plus voir qui se trouvait là et qui me faisait quoi... Je sentais juste quatre mains me caresser tout le corps.
J'avais une vague idées desquelles appartenaient à mon mari mais l'exitation me fit complètement perdre pied, tout ce que je voulais, c'était me faire prendre...
J'entendis deux fois le même bruit, celui d'embalages plastiques qu'on ouvrait. Le salaud, mon mari avait décidé de mettre un préservatif pour continuer à me perturber. Ce qui signifiait qu'il avait la ferme intention de me faire prendre par le routier, ce qui, vu mon état d'exitation, était loin de me déplaire.

Une main me fit me pencher en avant, je tendis une main et senti un sexe bien dur et tendu recouvert d'un préservatif. Je le pris en bouche pour continuer de le faire gonfler et durcir.
Pendant ce temps, la seconde personne ne restait pas inactive, je senti le second gland à l'entrée de mon sexe. J'écartais les jambes pour en faciliter l'accès et me cambrais bien à fond. Je le senti pousser et entrer en moi avec une telle facilité que j'en déduis que je devais être complètement trempée.
L'homme qui se tenait derrière moi fit des allers-retours pendant un certain temps, la jouissance qui me submergeait m'empêchait d'avoir une quelquonque notion du temps.
Je me mis à crier ma jouissance en sentant le préservatif se gonfler de la jouissance de celui qui me prenait avec tant d'ardeur.
Peut de temps après je senti le sexe dans ma bouche gonfler un peut plus, signe que la jouissance approchait aussi de ce côté. Je me dépéchais de retirer le caoutchouc pour qu'il puisse jouir par terre.

Une main m'aida à m'asseoir sur le capot de la voiture, puis j'entendis le camion repartir et mon mari m'enleva ce que j'avais sur les yeux.
Je l'embrassait à pleine bouche, ravie du moment qu'il venait de m'offrir.
Le temps de me rhabiller et nous repartions en direction de la maison. Pendant le trajet je lui demandait si c'était lui qui m'avait pris ou s'il était celui que j'avais sucé. Il me répondit que c'était un secret entre lui et le routier. Bien que j'ai une petite idée de la réponse, je ne dis rien et nous rentrâmes à la maison pour remettre le couvert, mais cette fois-ci juste nous deux et sans bandeau.
En revanche, ce que je n'ai jamais su, c'est si quelqu'un était passé pendant notre jeu à trois ou pas...

Je vous ai dit que j'avais une petite idée de qui m'avait fait quoi, mais je ne dirait rien, je préfère vous laisser imaginer...

A bientôt pour d'autres récits...

Par christelle amat' - Publié dans : Extérieur
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Vendredi 22 octobre 5 22 /10 /Oct 20:02

30

Cette histoire c'est passée l'été dernier, alors que nous étions en vacance en Corse.
J'en avais un peu marre de me promener pour visiter les coins de cette magnifique ile et j'avais envie de me prélasser un peu au soleil.
Seulement, mon mari, lui, ne voulait pas aller à une de ces plages pleines de monde et surfaites. Il voulait aller sur une plage plus tranquille, à l'écart des touristes.
Il avait eu vent d'une plage plus difficile d'accès où le naturisme était toléré.
Voilà, le mot était dit : naturisme. Il voulait me voir bronzer dans le plus simple appareil et certainement me voir montrer mon intimité aux hommes présents.

Après un trajet en voiture trop long à mon goùt (et oui je suis pas du genre patiente), nous voilà à crapahuter pour accéder à une petite plage qui se situe dans une crique.
Une partie de cette plage est dite "textile" et le reste est dite "culs nus". Evidemment, mon mari a tenu à aller côté culs nus.
Nous avons marché un peu, de façon à voir un peu qui il y avait. Rien de bien terrible, un couple et cinq ou six hommes, et pas attirants du tout en plus. Pas de quoi me motiver...

Nous décidâmes donc de nous mettre un peu plus haut dans les dunes à la limite invisible entre les deux partie de la plage.
Nous avons posé nos serviettes sur le sable fin. Je me suis d'abord assise en maillot pour voir comment allait se dérouler la séance de bronzage mais mon mari insista rapidement pour que je quitte l'étoffe de tissu qui recouvrait certaines parties biens stratégiques de mon corps.
Je m'exécutait, un peu à contre-coeur car le "public" ne me plaisait pas du tout.
Une fois totalement nue, je m'allongeait à plat-ventre, tête vers l'eau, car de là où nous étions, nous avions une belle vue sur la mer et la plage qui se trouvait un peut en dessous de nous.

L'après-midi passant, la plage naturiste se vida, me permettant d'aller me baigner dans le plus simple appareil sans problème. En y allant, mon mari me dit qu'il avait envie d'aller se dégourdir les jambes qu'il allait se promener dans le maquis qui se trouvait plus loin derrière nous. Pas de problème, moi, pendant ce temps j'allais me raffraichir dans l'eau.
En revenant à ma serviette, je m'allongeait sur cette dernière, sur le dos cette fois-ci et profitait des rayons bienfaiteurs du soleil.
Au bout de quelques minutes, je senti un regard posé sur moi, j'ouvri les yeux en souriant, pensant que c'était mon mari et j'eu la surprise de voir un jeune homme qui se tenait au dessus de moi.
Il devait avoir entre vingt et vingt-cinq ans et était assez mignon je dois l'avouer.
Il me fallu quelques secondes pour que mes yeux s'habituent à la lumière directe du soleil et je pu le voir qui se trouvait non loin de moi.
Il me demanda si ça ne me dérangeait pas d'être nue comme ça, à la vue des autres. Je lui expliquait que la pudeur n'était pas vraiment de mise chez moi. Ce à quoi il répondit qu'il aimerait bien essayer mais qu'il n'osait pas.
Du coup, il s'est  assis avec moi et on a commencé à discuter. La discution est passé du naturisme au sexe sans qu'on s'en rende vraiment compte et le jeune homme (qui se prénomme Alex) me fit remarquer en riant qu'effectivement la pudeur n'était vraiment pas une amie à moi.
Me demandant un peut pourquoi il me disait ça, je me regardait et percuta une chose... Je m'était relevée et assise en tailleur, toujours nue, et mon sexe, fraichement épilé, était très ouvert de la plus porvocante des façons.
Je resserrai les jambes en rougissant quand il me dit que je n'avais pas à avoir honte et que j'étais vraiment belle.
Je fini par lui signaler que je me sentais un peut seule nue et qu'il pourrait bien m'imiter. Alex regarda aux alentours et vit qu'il y avait pas énormément de monde et que nous étions un peut isolés des regards des autres sur la plage, ce qui le décida.
Alex, eu un peut de mal à enlever son maillot de bain car il avait un léger souci... La vue, que ma posture impudique lui offrait l'avait mis dans tous ces états et il affichait une superbe érection. Erection à laquelle j'aurai gouté avec le plus grand plaisir.
Je lui dit de s'allonger près de moi que ceci ne me dérangeait pas.
Je ressentais une envie de plus en plus grande, j'avais envie de ce sexe, de le caresser, le sucer et lui faire visiter d'autres orifices plus intimes.
J'entendis alors une sonnerie retentir, une sonnerie venant de mon sac, c'était un texto de mon mari qui me disait d'en profiter et de m'amuser. Le cochon, il devait être pas très loin de nous, dans le maquis à nous observer avec ses jumelles.
Sachant ça, je me suis permis d'avancer une main vers cet objet de plaisir qui n'avait l'air de ne demander que ça.
Je pris ce sexe dans ma bouche et entamais une fellation qu'Alex avait l'air d'aprécier grandement. J'ai voulu l'avoir ailleurs, mais un problème se posait. Un problème de taille... Nous n'avions pas de préservatif et je du laisser son sexe cracher son liquide d'amour dans le sable.

Le soleil commençant à disparaitre, je décidaot de me rhabiller pour rentrer quand mon mari arriva. Il salua les jeunes poliment et me demanda si l'après-midi avait été bonne. Je lui répondit qu'elle avait été excellente même si je n'avait pu faire tout ce que je voulait.
Il m'aida à prendre nos affaires et nous sommes rentrés à notre location.
Je n'ai jamais revu Alex, nous n'avons pas demandé son numéro de téléphonne et, quelque part, je le regrette un peut. J'aurai aimé le revoir et sentir son sexe dans le mien et, pourquoi pas, dans mon petit trou...
En tout cas, je n'ai pas oublié cette séance de bronzage et dédie cette histoire à notre cher Alex qui se reconnaitra s'il lit cette histoire.

Par christelle amat' - Publié dans : Extérieur
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