Mercredi 27 octobre 3 27 /10 /Oct 15:31

29Ce jour là, nous étions allés chez des amis dans l'arrière pays varois.
Pour l'occasion, j'avais revêtu une jupette courte volante, un petit haut moulant décoleté avec un tout petit chemisier noué par dessus et des chaussures ouvertes à tonlon. Sur les "conseils" de mon mari je ne portais pas de sous-vêtements (vous ais-je dit qu'il n'aimait pas que j'en porte? ^^).
Le journée s'était très bien passée, le beau temps y étant pour beaucoup. Mon mari, sachant que j'étais "cul nu" profitait des moindres occasions pour me toucher. Il passait une main sur un sein ou sous la jupe à chaque fois que nous nous retrouvions seuls tous les deux.
Il n'avait pas trop aimé que je mette le chemisier par dessus mon petit haut, mais je lui avait dit que pour des raisons de discrétion, il valait mieux que je le porte, sinon on voyait très bien que je ne portais rien dessous. Heureusement que je le portais car à chacuns des passages des mains de mon mari, mes tétons ressortaient d'une manière très provocante.

Vers la fin d'après-midi, nous décidâmes de rentrer à la maison, et quittâmes donc nos amis.
Sur la route, mon mari profitait des longues lignes droites de la route pour passer une main inquisitrice sur les cuisses, main qui avait la fâcheuse tendance à remonter, faisant ainsi remonter ma jupe et dévoilant le haut de mes jambes.
Je cru apercevoir un sourire sadique sur le visage de mon mari quand nous arrivions à hauteur d'un poids lourd. Il avait l'intention de "perturber" un peut le chauffeur. Il me demanda alors de relever ma jupe de façon à montrer mes cuisses à la limite de mon sexe, ce que je fit avec plaisir. La journée passée à jouer au chat et à la souris avec mon mari m'avait chauffé et j'avais envie de m'amuser un peut.
Je montrais donc généreusement mes cuisses et, une fois à la hauteur de la cabine, un "courant d'air" souleva ma jupe encore plus haut, dévoilant mon sexe nu et lisse.
Mon mari réduisit l'allure de la voiture de manière à rester au maximum aux côtés du camion pour que le chauffeur puisse se rincer l'oeil. Au coup de klaxon, nous avions compris qu'il aimait beaucoup la vue qu'il avait du haut de sa cabine.
Du monde arrivant en face, mon mari doubla le camion et continua la route.
Un peut plus loin, il aperçu une petite aire de repos, un peut dans le genre de celles que l'on peut trouver sur les autoroutes. A la différence que celle-ci n'avait pas d'aménagements et se trouvait relativement près de la route.
Il y engagea la voiture et la stoppa sur une place. L'aire était vide et on pouvait parfaitement bien voir la voiture de la route, mais elle était peut fréquentée un Dimanche à cette heure-ci.
Une fois le frein à main serré et le moteur coupé, mon mari commença à m'embrasser. Je sentais ses mains caresser ma poitrine à travers mes vêtements.
Il s'arrêta et me demanda d'enlever le chemisier, ce que je fis avec plaisir (je dois avouer qu'il me tenait chaud). Le vêtement enlevé, il pu voir ma poitrine qui dont les pointes se voyaient beaucoup tellement elle étaient érigées.
Je voulu le caresser aussi, mais l'habitacle de la voiture ne se prétait pas vraiment à ce genre de jeux. Je demandait donc à mon mari de sortir du véhicule pour que l'on puisse continuer à l'aise dehors. Il ne se fit pas prier, lui qui préférait toujours "jouer à l'extérieur".
Il m'embrassa fougueusement tout en caressant ma poitrine à travers mon mince vêtement si moulant.
Je me mis à lui souffler à l'oreille de l'enlever pour libérer mes seins de leur carcan de lycra, ce qu'il fit avec une rapidité qui me surpris.
Je me retrouvait assise sur le capot de la voiture, vêtue simplement d'une petite jupe volante, la poitrine nue qui se dressait fièrement devant mon mari et nos nous trouvions sur le bord d'une route. Imaginez un peut la scène et mon exitation...
Mon mari continuait de me caresser les seins, tirant sur les pointes d'une main, l'autre étant descendu à l'assaut de mon sexe qui était devenu complètement trempé quand on entendis un bruit. Le camion que nous avions doublé venait d'arriver et avait repéré la voiture.
Je commençais à me sentir légèrement mal à l'aise car je n'avait pas vu le chauffeur et je ne savait pas du tout à quoi m'attendre avec lui, mais cette situation ne dérangeait pas mon mari, loin de là.
Le chauffeur descendit de son véhicule et approchait de nous. De là où j'étais, je ne pouvais pas le voir arriver, je ne pouvais que l'entendre...
Mon mari me demanda si j'avais confiance en lui. Un peut étonnée de cette question, je réfléchis rapidement et répondis oui en ayant une petite idée que ce qu'il avait en tête.
Il pris mon haut qui se trouvait sur le capot de la voiture et me banda les yeux avec. Maintenant je ne pouvait plus voir qui se trouvait là et qui me faisait quoi... Je sentais juste quatre mains me caresser tout le corps.
J'avais une vague idées desquelles appartenaient à mon mari mais l'exitation me fit complètement perdre pied, tout ce que je voulais, c'était me faire prendre...
J'entendis deux fois le même bruit, celui d'embalages plastiques qu'on ouvrait. Le salaud, mon mari avait décidé de mettre un préservatif pour continuer à me perturber. Ce qui signifiait qu'il avait la ferme intention de me faire prendre par le routier, ce qui, vu mon état d'exitation, était loin de me déplaire.

Une main me fit me pencher en avant, je tendis une main et senti un sexe bien dur et tendu recouvert d'un préservatif. Je le pris en bouche pour continuer de le faire gonfler et durcir.
Pendant ce temps, la seconde personne ne restait pas inactive, je senti le second gland à l'entrée de mon sexe. J'écartais les jambes pour en faciliter l'accès et me cambrais bien à fond. Je le senti pousser et entrer en moi avec une telle facilité que j'en déduis que je devais être complètement trempée.
L'homme qui se tenait derrière moi fit des allers-retours pendant un certain temps, la jouissance qui me submergeait m'empêchait d'avoir une quelquonque notion du temps.
Je me mis à crier ma jouissance en sentant le préservatif se gonfler de la jouissance de celui qui me prenait avec tant d'ardeur.
Peut de temps après je senti le sexe dans ma bouche gonfler un peut plus, signe que la jouissance approchait aussi de ce côté. Je me dépéchais de retirer le caoutchouc pour qu'il puisse jouir par terre.

Une main m'aida à m'asseoir sur le capot de la voiture, puis j'entendis le camion repartir et mon mari m'enleva ce que j'avais sur les yeux.
Je l'embrassait à pleine bouche, ravie du moment qu'il venait de m'offrir.
Le temps de me rhabiller et nous repartions en direction de la maison. Pendant le trajet je lui demandait si c'était lui qui m'avait pris ou s'il était celui que j'avais sucé. Il me répondit que c'était un secret entre lui et le routier. Bien que j'ai une petite idée de la réponse, je ne dis rien et nous rentrâmes à la maison pour remettre le couvert, mais cette fois-ci juste nous deux et sans bandeau.
En revanche, ce que je n'ai jamais su, c'est si quelqu'un était passé pendant notre jeu à trois ou pas...

Je vous ai dit que j'avais une petite idée de qui m'avait fait quoi, mais je ne dirait rien, je préfère vous laisser imaginer...

A bientôt pour d'autres récits...

Par christelle amat' - Publié dans : Extérieur
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